Prénom: Elystra
Nom: Ipswich
Age: Inconnue (dans la vingtaine)
Sexe: Femme
Nationalité: Britannique de naissance, Irlandaise
Orientation Sexuelle: Inconnue
Description physique:
Elystra est encore une jeune femme bien qu’elle ne connaissent pas son âge exactement, mais quiconque la regardant ne lui donnerais pas plus de 20 ans. Elle es assez grande et possède de longues jambes élancées faisant presque le 2/3 de son corps. Elle à de magnifiques yeux qu’elle cache au reste du monde, bicouleur, le gauche est de couleur violette comme le bas d’une flamme et le droit rappelle la couleur de la rosée sur les feuilles automnale, d’un vert profond. Hélas, elle a pris l’habitude de camouflé ses yeux par des verres de contact teintée qui donne l’impression a quiconque regardant de loin qu’ils sont d’un banal brun.
Tout le reste de son visage rappelle un aspect angélique. De son nez, à la forme de son visage en passant par les courbes de son corps harmonieuses. Ses cheveux naturels sont couleur de blé et d’une douceur incomparable, mais par des méandres de la vie, elle les a teindu de couleur noir comme les ténèbres. Elles les a toujours laisser long et ceux-ci lui arrivé à la taille lorsqu’elle les laisse détaché se qui arrive rarement. Ses cheveux noirs et ses yeux « bruns » accompagné de son visage angélique où renferme toujours une froideur typiquement britannique laisse penser à une méchanceté vive de sa part.
Elle possède un tatouage minuscule sur le haut de sa fesse droite représentant un signe tribal.
Description psychologique: Elystra est quelqu’un de très perdue, elle a une vision très négative de la vie pour une humaine. Elle a un visage qui ne reflète jamais rien et garde une froideur constante malgré les émotions qui peuvent la traversée.
Qualités:
- Humeur constante
- Imperturbable
- Instinctive
Défauts:
- Solitaire
- Éduquer (de la mauvaise façon)
Peurs:
- De savoir se qui lui arrive
- De l’avenir
Particularités: Adore les animaux, on pourrait presque croire qu’elle leur parle bien que ce soit faux.
Caractéristiques: Vision de l’aura, bien qu’étant humaine, depuis un certain moment elle arrive à distingué les auras des gens. Les changements de leurs couleurs reflet de leurs émotions. Elle ne comprend pas toujours ce qu’elle voit mais peut anticiper si un vampire utilise son pouvoir grâce à ce don.
Point faible: Es une humaine. N’es pas nécessairement, voir pas du tout, capable d’esquiver tout ce qu’elle voit, ni de les comprendre.
Limite d'énergie: A voir
Histoire :
L’histoire d’Elystra lui a été racontée par les femmes qui l’ont élevé, des sages-femmes dites « sorcières ». Une femme, sa mère, était venue à leurs portes un jour, elle était ruisselante de sang en perte de tous les moyens et sur la fin de sa vie. Implorante, elle les avait supplié de mettre fin à ses jours. Celles-ci de leurs mieux lui avait apporté soutiens et patiences, connaissances pour la sauvé de la « mort » en lui donnant une dernière naissance. Les femmes chamans avaient ramassées l’enfant nouveau née pour le conduire avec elle hors de la terre de sa naissance, hors de tout doutes possible dans un endroit sain et de bonne famille, auprès d’elles.
Mais cette histoire avait des lacunes. Des moments inexpliqué qu’elles ne voulaient pas expliquées d’avantages comme si les femmes de sont enfance trouvait trop difficile de confier et d’expliqué des moments qu’elles auraient préférées oubliés. Au fil des années, la jeune Elystra, le nom qu’elles lui avaient données, avait grandit en cessant de leurs posés des question sur son passés. L’important était l’avenir. L’avenir? Les villageois du nouveau village ou elle avait atterri pour s’établir était très superstitieux concernant les vampires, et autres créatures de la nuit. Il était imprudent de sortir après le couché du soleil, disait les commères du villages. Balivernes…
Des sont plus jeunes âges, elle avaient compris que les gens n’acceptaient pas la différence. Elle ne pouvait aller dans les écoles ni même sortir de la maison de jours car les villageois encourageaient leurs enfants à lui lancer des injures et des pierres, la traitant de sorcière. Les moments les plus heureux de sa vie consistaient à être avec ses tantes, chargés de son éducation. Mais surtout, elle adorait enlever leur grimoire de celles-ci pour explorer des pages et des pages de sortilèges qui les peuplait assez souvent pour les apprendre sur le bout des doigts et se demander encore et encore si cela relevait de la baliverne et de la fiction ou de la réalité incompréhensible.
Plus le temps passait plus la jeune fille s’accommodait de l’incompréhension des gens, tellement qu’elle en venait a détesté les êtres humains vivants dans leurs fermetures de la vie et de ses mystères. Elle se retrouvait au milieu de forêt plus à son aise que dans les villes et cherchait à comprendre la nature plus que les êtres vivants. C’est être perdue de vie et incapable de pitié…
Elle devait approcher de la vingtaine lorsque cela se produisit, un passage qui changea sa façon de vivre. Alors qu’elle riait continuellement en compagnie de ses tantes, à présent les rires de l’atteignait plus. Elystra avait les larmes faciles et la vie lui semblait de plus en plus maussade. Lors d’une de ses fugues de plus en plus fréquentes, une de ses tantes tomba gravement malade. Lorsque sa plus jeune tante bien portante lui demandait au travers de ses larmes de rester prêt d’elle pour lui apporter du soutien. Dans la noirceur de son cœur, Elystra lui répondait sans expression qu’elle avait d’autres chats a fouettés que de rester avec une vieille folle et que la vie était si imparfaite qu’elle devait être contente d’atteindre enfin la mort… Mais des que la jeune femme tournait le dos, elle fronçait les sourcils et se sauvait au travers des bois environnants le village. Pourquoi parlait t’elle ainsi aux femmes qu’elles appréciaient et qui l’aimait? C’était comme si une partie d’elle vivait la souffrance et avait perdu complètement l’envie de vivre, l’envie d’aimer et même de sourire. Elle était envahi par cette autre elle-même tant et si bien qu’elle pleurait de sa tristesse sans la connaître, de plus en plus souvent.
Sa dernière fugue l’amena sur un bateau en partante de France. Elle s’en voulait tant et si bien de sa fougue qu’elle avait choisi de fuir définitivement sa terre qui l’avais vu grandir. Elle avait toujours les cheveux d’un blond de blé et ne portait a peine attention a les coiffer outre que de les camoufler dans son épaisse capes d’hiver.
Puis un jour, elle devait avoir dépasser son vingtième anniversaire de quelques années certainement, elle fut atteinte de grave malaise incompréhensible. Elle passa plusieurs journées alité, vomissante, torturer par d’étrange maux qu’elle ne connaissait pas et qui semblait irréel dans un autre monde d’un autre corps. Au bout de plusieurs jours de malaise, un matin a son réveil, elle fut aveugle. Le néant totale, la noirceur l’avait envie presque totalement, tant et si bien qu’elle cru que jamais plus elle reverrait le soleil, ni toute les beautés de l’univers. Ce n’est qu’au bout d’un mois qu’elle retrouva la vue. Mais à ce moment tout avait changée. Ses yeux n’était plus les mêmes! Bien sur, leur couleur était toujours aussi contrastante, mais leurs visions des êtres vivants n’était plus la même. Maintenant, elle voyait autour des gens des halos de lumière perpétuel, comme si une bulle recouvrait la peau, une bulle de couleur qui changeait selon se que les gens disaient. Au départ cela lui fit peur puis au fil du temps elle compris qu’elle voyait l’invisible, les auras des gens qui définissait les répartissions de leurs énergies et de leurs humeurs, changeant d’une couleur a l’autre soit qu’il était désappointé, inquiet, en colère, triste, chaque sensation avait une texture et une couleur précise variant d’un individu à l’autre.
Mais, aussi profondément, elle se sentait différente, comme si le bonheur la réputait à présent, les sourires des gens ressemblaient plus à des grimaces à ses yeux. Les pleurs des enfants étaient une douce mélodie à ses oreilles. Elle changea du tout au tout, tant de changement impliquait des méthodes radicales sur son corps autant que dans son esprit. Elle fit changée la couleur de ses cheveux et s’assura d’avoir des verres de contact colorés pour camouflé ses yeux si étranges. Elle cherchait avec frénésie à ressembler à un autre moi. Se maquillant continuelle, sortant de moins en moins de jours pour préféré les nuits endiablés. Reflètent la douleur intérieur d’elle ne savait venait de qui, ni de quoi mais qui souffrait tant qu’elle ne pouvait que le montré physiquement.
Lun 18 Aoû - 8:39
